Festival de Cannes

Je sais, le jeu de mot est facile…
Mais je vous ai quand même épargné le “Yes, we cannes !”
Mouarf !
Vous l’aurez donc compris cet article n’a rien à voir avec le cinéma ou les starlettes.

J’ai juste pris le temps de ranger et, surtout, trier mes cannes (avec un précieux coup de main de cherétendre qui m’a fait gagner du temps *bisous*). Quelques unes ont été impitoyablement écrabouillées pour devenir de la pâte aux couleurs improbables (et parfois sympas). Les survivantes ont été emballées et classées dans divers tiroirs.
Je vous montre donc 2 de ces rangements avec quelques cannes géométriques et figuratives juste parce que je trouve ça joli cette accumulation de motifs divers et puis quoi, merde, quel boulot ça a été !

À la suite, autre résultat de cette crise de classement, vous avez droit au tiroir des restes de pâte. Ce sont des bouts de cannes après réduction que j’ai mélangés pour obtenir de nouvelles couleurs, des restes de mélanges personnels, des restes mélangés entre eux… Bref, un tiroir dans lequel j’essaie de piocher au maximum pour épuiser ce stock. J’ai passé quelques heures à tourner la manivelle de ma machine pour faire de jolies plaques dans lesquelles j’ai coupé de beaux carrés bien réguliers à l’emporte-pièce. Tout ça pour avoir un assortiment tout propre et facile à consulter.
Je suis contente de constater que j’ai d’ores et déjà utilisé les couleurs les plus monstrueuses (souvent comme base recouverte d’une couleur plus fréquentable) Adieu, donc les “vert foie de veau avarié”, “marron gadoue de fuel” ou “jaune souffreteux moisi”. Il ne me reste quasiment que des tons exploitables, youpi !