Chouette un swap !!! "Oui, et c'est quoi un swap ?" me diront certains. Un swap est un échange. Tu as des talents de couturière et moi je fais de super bonnes confitures ? Tu fabriques tes propres savons naturels et je crée des albums photos personnalisés ? Hop, tu fabriques quelque chose pour moi, selon mes goûts et je fais la même chose pour toi. J'expédie ensuite mon "œuvre" dans un beau paquet, éventuellement garni de friandises, de bricoles qui font plaisir etc.

Peut-être connaissez-vous l'opéra de Mozart, La Flûte enchantée ? Il recèle des airs extraordinaires, comme celui de la Reine de la nuit ou encore ceux des Clochettes ou de Papageno. Et pourquoi est-ce que je vous parle d'art lyrique, me direz-vous ? Parce qu'une fois encore j'ai participé à l'un des challenges du groupe CreationFimo et que cette fois-ci il s'agissait de créer... des chaussures. Vous pouvez d'ailleurs voir toutes les participations (peu nombreuses) à ce challenge ici, sur le blog Parole de Pâte.

Comme je l'indiquais dans cet article, je fais partie d'un groupe de polyméristes qui met en place tous les mois des challenges. Il s'agit de réaliser une pièce (pas forcément un bijou) sur un thème donné et/ou en respectant des contraintes. Le thème du challenge était l'automne, il fallait en illustrer les couleurs mais aussi et surtout utiliser un symbole de cette saison. Vous pouvez admirer les travaux de toutes les participantes de ce challenge sur le blog Parole de pâte.

Lorsque j'ai commencé à patouiller, il y a quelques mois, le truc du moment était la Cane Stroppel (imaginée, je vous le donne en mille, par Alice Stroppel) que tout le monde fabriquait et déclinait en une multitude de bijoux. Je me disais alors que des "inventions géniales" de la sorte il ne devait pas y en avoir tant que ça. En effet, chacun de nous expérimente à chaque séance de patouillage et nous sommes quelques dizaines de milliers à tester diverses idées en même temps. Parmi les découvertes des uns et des autres très peu sont vraiment innovantes ou originales. Et pourtant...